Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
9 octobre 2006 1 09 /10 /octobre /2006 19:57

Encore une randonnée à ne pas rater dans le parc naturel du Verdon. En effet les Cadières de Brandis,avec l'Imbut du Verdon sont les deux ballades incontournables dans cette région.

Surplombant le village de Chasteuil, les Cadières, arêtes dolomitiques offrent leurs chaos de roches aux  pas des promeneurs.

Le départ s'est fait du Col des Lèques, pour un dénivellé d'environ  900 mètres. En provençal, cadière signifie chaise. En fait nous marchons au pied d'énormes tours de roches dolomitiques présentant un aspect ruiniforme. Nous ne marcherons pas seulement aux pieds de ces chaises mais nous monterons aussi dessus et de là un spectacle sur les Gorges du Verdon, les Pré-Alpes, le Mercantour et le Mont Pelat.

On marche au milieu des lavandes, sariette et thym. Nous traverserons des chaos rocheux sur des chemins en encorbellement  pour arriver après la traversée d'une zone forestière à notre point de départ.

 

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit

 Les Cadières: des chaises et des fauteuils...

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit 

 Au fond de la vallée:  le Verdon

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit

La sortie..... 

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2006 7 01 /10 /octobre /2006 20:53
Une petite escapade dans le massif des Maures, à côté de Draguignan, Le Thoronet est  célèbre pour son Abbaye Cistercienne, Notre-Dame-du -Thoronet, classée monument historique.

 L'abbaye du Thoronet est avec ses soeurs, Sénanque et Sylvacane, une des merveilles cisterciennes, modèle de l'architecture romane cistercienne au coeur du Moyen-Age. C'est en 1136 qu'un groupe de moines quitte l'abbaye de Mazan (Ardèche) pour fonder un monastère sur les terres de Tourtour (devenu Le Thoronet). En cette période le  monachisme est traversé par un mouvement de "retour aux sources". En effet, c'est en 1098 que Robert de Molesne fonde une communauté monastique à Cîteaux, qui donnera naissance à l'ordre Cistercien, basée sur un retour au respect de la règle de Saint Benoit, en réaction au pouvoir et au luxe acquis par les communautés monastiques de l'époque et en particulier la tendance Clunisienne. Cela se traduit remarquablement dans l'architecture, par la sobriété des bâtiments et l'absence de décor ostentatoire. Les travaux d'édification de l'abbaye Notre-Dame-du-Thoronet débutent en 1160, et s'inscrivent en plein dans ce courant. Ils s'achèvent pour l'essentiel  en 1175, et se prolongent jusqu'en 1190.

 La disposition de l'église est remarquable. Ses façades occidentale et orientale sont percées d'un occulus et l'orientation du bâtiment est telle que, au soltisce d'été, le soleil traverse de part en part l'église par ses deux ouvertures.

 

 

 L'une des caractéristiques principales de l'ordre cistercien est le retrait du monde, et la clôture !

    Le cloître

 

 

Dépouillés, austères, sobres, comme il se doit dans une abbaye cistercienne, où rien ne détourne les moines de leur recherche et de leurs prières, le décor et l'architecture n'en sont pas moins sans signification.

Cette ouverture par exemple, représentée dans sa partie basse par un carré divisé en deux, et surmontée d'une arcade percée d'un occulus central est significative de la recherche spirituelle. La partie basse: un carré représentant la terre, et la partie haute: une arcade représentant le ciel. La partie basse divisée en deux par une colonne centrale, symbolise la dualité terrestre du corps et de l'âme, tandis que l'occulus central, dans le ciel,  montre d'où une Lumière  a resplendi.

Outre cette signification spirituelle, les règles proportionelles, liées au nombre d'or sont totalement respectées.

Le nombre d'or, ou phi (grec) égale à 1,618 est connu depuis l'antiquité et, est le résultat de l'observation des différentes proportions existant dans la nature et encore appelé "divine proportion". Un essai tout simple à faire: mesurer la distance entre le sol et votre nombril quand vous êtes debout, multiplié le par 1,618 et vous trouverez à peu de chose près votre taille: la distance du haut de votre tête au sol. De même, au moyen-âge, les bâtisseurs de cathédrales utilisaient les unités telles que la paume, la palme,l'empan, le pied, la coudée et pour passer d'une unité à l'autre il fallait multiplier par environ 1,618. ( 1 coudée=1,618 pied...).

Si vous visitez un jour l'abbaye, montez sur l'ouverture et si, debout vos épaules arrivent au haut du carré, vos bras tendus toucheront l'arcade, tel l'homme de Vitruve dans son cercle.

  

  

La salle capitulaire, ou salle du chapître est un lieu important de la vie monastique, puisque c'est là que  se réunit chaque matin la communauté pour lire et commenter la Règle, et aussi pour résoudre tous les problèmes de le vie quotidienne.

Cette salle est plus large, maintenue avec deux colonnes centrales, ici les chapiteaux des colonnes sont décorés, la voûte est de croisées d'ogives essentiellement pour des raisons architectoniques liées à la largeur de la salle et aux charges portées sur les colonnes: au dessus de la salle capitulaire il y a le vaste dortoir. A l'origine il n'y a pas d'autel dans la salle du chapître.

Le lavatorium, est également un lieu important. C'est là qu'avaient lieu les ablutions, les tonsures et les saignées qui étaient au Moyen-Age le moyen de se garder en bonne santé!

 

 

 

L'église est très sobre, la nef principale est surmontée d'une voûte en berceau renversé, alors que la chapelle en abside est recouverte d'une voûte en cul-de-four.

Les deux occulus, à l'orient et à l'occident se font face.

Il faut noter l'acoustique remarquable et encore inégalée du bâtiment.

 

 

Si au début du XIIIème siècle, le monastère compte une vingtaine de moines et quelques dizaines de frères convers. deux siècles après, le déclin est déjà là, et à partir de 1660 des toitures s'effondrent et des murs se fissurent.

C'est Prosper Mérimée qui découvre l'abbaye et en parle à Revoil architecte des monuments historiques. A partir de 1873 on s'attache à la restaurer.

 

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2006 6 30 /09 /septembre /2006 14:52
Jamais le Verdon ne fut aussi vert, jamais les prairies et les pâtures ne furent aussi fleuries.

C'est ainsi que vous pouvez feuilleter l'album des fleurs sauvages photographiées au cours des belles randonnées dans le site du Verdon.

Et la faune? Bien qu'ayant croisé moult bestiaux : un renard narquois qui traverse le chemin devant nous, un aiglon ou plutôt dans cette région un jeune milan noir qui nous survole lors d'un pique nique, toutes sortes de cigales, grillons, lézards, seule cette espèce de poisson accepta de poser devant l'objectif et pour cause..... depuis des millénaires il repose sur cette pierre:

Fossile, la région du Verdon est très riche en fossiles

celui-ci était sur une pierre devant la Chapelle Saint André

(Gorges du Trévans)

Voir album photos:  LES FLEURS DU VERDON

Partager cet article
Repost0
21 septembre 2006 4 21 /09 /septembre /2006 20:50

De toutes les randonnées dans les Gorges du Verdon, le parcours par le sentier de l'Imbut reste incontestablement le plus intéressant, le plus beau et le plus époustouflant par ses paysages. C'est aussi le plus sportif et technique.

  Pourtant elle n'est pas très longue, elle fait environ huit kilomètres avec 350 mètres de dénivellés en descente et plus de 400 en montée. Le départ se fait au niveau de l'auberge des Cavaliers, et, à partir de là il faut descendre dans le fond des Gorges sur des grosses pierres qui peuvent être glissantes par temps de pluie. Le chemin se taille d'étroits passages en balcon et longe la rive gauche du Verdon. Au bout d'un moment on arrive à la "passerelle de l'Estellié", reconstruite il y a quelques années. Elle permet de rejoindre la rive droite et le sentier Martel.

 

De la passerelle de l'Estellié

 

 Puis nous arrivons à un endroit appelé "le Stycx", dans la mythologie grec, c'est un fleuve qui mène aux enfers. Là, le Verdon s'engouffre sous la voûte. On y voit de grandes marmites creusées par l'érosion, dans la pierre calcaire et poudreuse. Plus loin encore, un passage en encorbellement, que l'on franchit à l'aide de cables nous permet de passer le "Maugué" (mauvais gué).

    L'arrivée à "l'Imbut" est sublime. Imbut signifie en provençale entonnoir. A cet endroit, le Verdon disparait sur une centaine de mètres sous un chaos rocheux  qui, lors des crues,  doit ressembler à un barrage naturel, ainsi des troncs d'arbres, emportés par les crues, sont suspendus dans les rochers à une dizaine de mètres au dessus du niveau du Verdon.

On y rencontre une flore extraordinaire, des buis arborescents d'une taille impressionnante, des troncs tortueux, des arbres qui poussent la tête en bas, les racines coincées dans le toit d'une voûte rocheuse et les branches qui descendent dans le chemin. Entre la "passerelle de l'Estellié" et le "Stycx", un vieux cade (genevrier) âgé de plusieurs milliers d'années.

La remontée se fait par le sentier Vidal, très impressionnant. On cherche le chemin à droite puis, à gauche: rien. Il faut regarder en haut, au dessus et monter pratiquement à la verticale sur la paroi rocheuse, qui se termine par deux échelles métalliques

 

Partager cet article
Repost0
18 septembre 2006 1 18 /09 /septembre /2006 20:33

Du même côté que les Gorges du Trévans mais un peu plus au sud: Blieux. Empruntez la petite départementale D21, elle suit le cours d'eau l'Asse de Blieux et vous mènera au bout du monde....ou presque. Vous traverserez le petit village de Blieux et quand vous serez au bout de la portion de route goudronnée, vous pourrez garer votre voiture et enfiler vos chaussures de marche. Prêt pour monter au Chiran (1905m)

 Tout d'abord, Blieux : plus qu'un vrai village, Blieux se compose d'un camping (et oui !), autant dire tout de suite qu'il n'est pas surpeuplé. Et, comme tout village qui se respecte, une petite épicerie-bistrot, chez Léontine. Charmante dame et charmant endroit pour prendre un petit repos bien mérité après l'ascension du Chiran.

  De vieilles maisons bien espacées et des fermes restaurées achèvent le décor avec une superbe église de pierres, toutefois c'est la nature la véritable "star" de l'endroit.

 

 L' église avec sa tour carrée

 

 Le portail

 Le chevet, appareil de pierres

 

Le mont Chiran, 1905 mètres. Le chemin commence presque au bout de la départementale 21, un petit sentier qui contourne la "ferme du Pointu", à partir de là, nous grimpons pendant trois heures. En effet, nous quittons l'altitude 960 pour arriver à 1905 mètres soit un dénivellé de 930mètres, en direction Nord Ouest, donc toujours ensoleillé pendant la montée ; mais les paysages, le calme et la nature en valent la peine.

 

Une belle clairière pour la pause.

 

 

mais on n'est pas encore en haut

 

Après environ une heure trente de montée et avoir passé une "barre" de marnes et gravillons, une belle clairière vous invite à faire une pause pique-nique. Puis commencent les alpages de montagnes à vaches jusqu'au Portail de Blieux, ce col à 1640mètres environ sépare le Grand Mourre et le Chiran.

La montagne à vaches

 

Le portail de Blieux, face au Grand Mourre

 

Nous ne sommes pas encore en haut du Chiran. Par contre nous croisons un chemin carossable (comment? On pouvait y aller en voiture!) . Puis un dernier raidillon et une vue splendide et illimitée s'offre à nous: Le plateau de Valensole, le lac de Sainte Croix, on voit jusqu'au Mont Ventoux. De l'autre coté, le parc du Mercantour.

Le lac de Sainte Croix

En haut du mont, il y a un refuge et un observatoire astronomique. On bénéficie,en effet, de la pureté de l'air pour observer les étoiles dans d'excellentes conditions. C'est promis, juré, la prochaine fois nous y  passerons la nuit, la tête dans les étoiles!

 

Partager cet article
Repost0
16 septembre 2006 6 16 /09 /septembre /2006 09:56

 

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit 

 

 

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit

 

Partager cet article
Repost0
12 septembre 2006 2 12 /09 /septembre /2006 08:53

Quand nous sommes près du Lac du Castillon, il faut aller de l'autre côté de la route Napoléon, en direction de Digne et se promener dans la vallée du Parc Régional du Verdon.

C'est au Sud Est de Digne,  vers Mezel puis en direction de Majastre, une belle randonnée dans la vallée de l'Asse et de l'Estoublaïsse.

Les vestiges d'un vieux village avec encore debout un pan de mur de la chapelle (la chapelle Saint André) et le four à pain. 

Un vieux pont de pierre dit  "Le Pont Romain" enjambe l'Asse de Blieux.

 

 Le pont romain

La chapelle Saint André

Un four

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
8 septembre 2006 5 08 /09 /septembre /2006 22:01
Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit

 

Les pins d'Alep

 

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit

 

Le mélèze

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit

 

Le soleil dans les arbres

 

Partager cet article
Repost0
8 septembre 2006 5 08 /09 /septembre /2006 06:36

John Kiser: journaliste d'investigation et historien. Son livre est le résultat de quatres années d'enquête.

Henry Quinson, a traduit le livre en français, il a vécu six ans au monastère de Tamié dont étaient issus deux des sept moines de Tibhirine.

 Passion pour l'Algérie, les moines de Tibhirine est un livre extrêmement complet, fouillé et précis sur les moines de Tibhirine et l'Algérie.

  Il éclaire sous plusieurs facettes les événements et propose une vision intéressante  de l'histoire de l'Algérie, l'histoire de l'église catholique en Algérie, la vie dans un monastère cistercien et les relations entre les moines et les habitants du village.

Surtout, il nous montre comment une communauté d'hommes, si différents de caractère, ont pu vivre ensemble jusqu'au bout leur témoignage....

Au delà des problèmes et des explications pas encore très claires sur les responsabilités de l'enlèvement et de la mort des moines ; ce qui aurait pu être fait, ce qui n'aurait pas dû être fait, sur les négociations à faire ou à ne pas faire, ce qui est intéressant dans ce livre, et ce qui reste, somme toute, aujourd'hui, c'est la personnalité et le portrait des ces hommes courageux et humanistes, c'est le sens de leur combat fraternel au quotidien pour rassembler des communautés si différentes et si proches à la fois.

C'est sûr, qu'ils pouvaient quitter Tibhirine et s'installer au Maroc à Fès, mais ils ne l'ont pas fait.

C'est sûr qu'ils avaient déjà eu des "alertes" et des intrusions dans le monastère,mais ils sont restés.

Entre aban-donner et donner, ils ont fait le choix du chemin le plus difficile.

 Quelques critiques:

  • Le livre de John Kiser est un document inespéré qui n’intéresse pas seulement les lecteurs américains ou européens pour déceler la vraie mécanique d’un phénomène qu’ils connaissent très mal, mais aussi les lecteurs algériens submergés par les incohérences d’un système résigné à la fatalité de l’intérêt immédiat et le jeu d’un islamisme politique qui n’a jamais abdiqué. D’ailleurs, Passion pour l’Algérie est dédié aux moines de Tibhirine, mais aussi à ceux qui les ont aimés, c’est-à-dire à nous tous qui portons en nous cette flamme humaniste intarissable. Waciny Laredj, El-Watan

 


 

 

 

                                                                                    

  •   L'ouvrage de M. Kiser est remarquablement bien documenté, et se lit comme un roman. Il apporte une double démonstration, qui justifierait, chacune, un livre à part entière. La première est de souligner le contraste entre les factions terroristes qui utilisent l'islam comme un moyen, et les villageois de Tibhirine qui le pratiquent comme une fraternité. Imam Feisal Abdul Rauf, Islamic Horizons Magazine
Partager cet article
Repost0
7 septembre 2006 4 07 /09 /septembre /2006 16:59

Christophe Lebreton:  est né le 11 octobre 1950. Il fait son service militaire en coopération auprès d'enfants handicapés mentaux à Alger. Il entre en 1974 à l'abbaye cistercienne "Notre Dame de Tamié", en Savoie, et  il rejoint Tibhirine en 1987. Il y était responsable du jardin, de la liturgie, maître de novices. Il est mort à 45 ans, le plus jeune des moines de Tibhirine assassinés le 21 mai 1996.

Le souffle du Don est le journal de frère Christophe moine de Tibhirine. Il commence le 8 Août 1993 et le dernier écrit date du 19 mars 1996.

 Publié à peine trois ans après la tragédie, ce livre est paru sans notes, sans index, les noms ont été modifiés pour des raisons compréhensibles de sécurité. Rappelons que les trois années que couvre ce journal sont des années d'une extrème violence en Algérie.

 Cela rend le livre un peu compliqué à comprendre,car il s'agit bien d'un journal qui reprend au quotidien tel ou tel évènement de la vie du monastère et du village, sans que nous en connaissions tous les éléments. Parfois,on s'interroge et on ne comprend pas vraiment de quoi il parle. D'ailleurs, peut être ne pensait-il pas que ses écrits seraient un jour publiés.

 Ce livre est aussi un poème et des poèmes, si la lecture des événements quotidiens est complexe, ils y sont abordés d'une manière tout à fait particulière, nous y découvrons une personnalité sensible et attachante qui ne laisse pas indifférent.

Le caractère de ce livre est bien décrit par l'avant-propos de Jean Pierre Schumacher*:

Les homélies de père Christophe, comme ses poèmes, avaient une allure qui leur était tout à fait propre, faisant appel à la sensibilité, à l'image, au sentiment....Christophe a une manière à lui d'exposer les faits au quotidien qui n'est pas anodine, neutre ou froide: son récit est habité, il contient une âme, la sienne. Il narre les choses comme il les vit, les voit, et les sent." 

*Jean Pierre Schumacher avec le Père Amédée sont les deux survivants de la communauté.

Partager cet article
Repost0