J'ai terminé récemment la lecture du dernier essai de Franz-Olivier Giesbert, "La tragédie du Président". Il y relate ses diverses entrevues avec Jacques Chirac, notamment, et quelques autres phénomènes politiques qu'il fréquente (ou courtise) depuis des années.
Il dit que le temps est venu de vider ses carnets. Je dirai plutôt qu'il a vidé ses poubelles! Quelques révélations dont on n'apprend rien, tout est permis pour conquérir le pouvoir, tous les moyens sont bons pour détourner l'argent public. Ca, on le savait déjà !
A lire absolument, si vous ne voulez pas vous réconciler avec la politique ou si vous chercher une bonne excuse pour ne pas aller voter aux prochaines élections.
La seule question qui nous vient à l'esprit après la lecture de cette ouvrage est de savoir quels comptes Franz-Olivier Giesbert a à régler avec la gent politique.
Une chose intéressante tout de même: les proverbes qu'il a mis en exergue de chaque chapitre.
L'un d'eux m'a fait sourire donc je le cite :
Bien des gens sont comme ces horloges qui indiquent une heure et en sonnent une autre.
Proverbe danois
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